Le mouvement perpétuel

  • 2005, chat naturalisé, cuir, métal, moteur, pain, résine, 40 x 70 x 15 cm

Ou comment la juxtaposition de deux lieux communs : « le chat retombe toujours sur ses pattes » et « la tartine tombe toujours du côté du beurre », permet la démonstration de l’existence possible du mouvement perpétuel et d’une révolution électromécanique.

Or how the juxtaposition of two commonplaces —“a cat always falls on its feet” and “bread always falls on the buttered side”— makes it possible to demonstrate the possible existence of perpetual motion and an electromechanical revolution.